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Publié le 5 Avril 2024

Quatre de nos artistes participaient au salon des Beaux-arts de Lorraine, qui se tenait au Casino de Mondorff Les Bains pour sa cinquième édition. Un grand merci à Nadine Bouis, sculpteure, présidente de la Société et déléguée de la Société Académique Arts-Sciences-Lettres pour l'Est de la France et le Luxembourg, et à toute son équipe pour leur soutien. 

 

Retour en images sur le Salon des Beaux-arts de Lorraine au Luxembourg
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Rédigé par Bénédicte Lecat

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Publié le 22 Novembre 2023

La Société Nationale des Beaux-arts est née en 1861 sous l’impulsion de Louis Martinet et de Théophile Gauthier, et avait pour vocation, de rendre l’art moins académique, moins dépendant des commandes publiques, et d’apprendre aux artistes à faire eux-mêmes leurs affaires. Son comité se composait d’artistes prestigieux tels que Théophile Gauthier, Eugène Delacroix, Gustave Courbet. En 1890, la société est refondée par Meissonnier qui entraîne derrière lui Puvis de Chavannes, Rodin et Carolus-Duran. La SNBA débute les expositions annuelles au Champs de Mars, qui verra les plus grands s’y précipiter comme Camille Claudel, Suzanne Valadon, ainsi que des artistes venus de tous horizons. Aujourd’hui, la SNBA continue d’accueillir des français, des japonais, des mexicains, des serbes, des slovènes, des américains, des canadiens, des coréens, des australiens, des chinois et bien d’autres. De nombreux prix et récompenses ont été attribués au cours des années comme le prix Baumel-Schwenck remis à des sculpteurs ; le prix Charles Carey-Rumsey également pour un sculpteur ; le prix Puvis de Chavannes remis à un artiste émergent. De nouveaux partenaires ont choisis de reconnaître la continuité de la SNBA : Singul’Art, la Maison du Japon, la Maison Deyrolle, l’ADAGP, Géant des Beaux-arts ou bien encore la Marine Nationale.

Après avoir été durant de longues années au Grand Palais puis au Carrousel du Louvre, le salon a trouvé un nouvel écrin en le Réfectoire des Cordeliers. Le salon s’est déroulé du 14 au 24 septembre et a été découpé en deux temps : photographies et dessins durant la première semaine, peinture sur la seconde semaine, les sculpteurs étant les plus chanceux puisqu’ils exposaient deux semaines. Facec y a présenté neuf artistes américains soient six photographes (Mikhail Baryschnikov, Cynthia Fuller, Daniel Hurwitz, Maggie Nimkin, Dawn Watson, Pamela Takiff), deux sculpteurs (Scott Kling et Nancy Gollobin) et un peintre (Lynette Shaw). Trois photographes et une peintre ont été récompensés : une médaille d’or pour Daniel Hurwitz, une mention Jean Larivière pour Pamela Takiff, également médaille de bronze ASL, une médaille de Bronze pour Dawn Watson et un prix de la fondation Taylor pour Lynette Shaw. Il est à noter que Jean Larrivière est un des derniers grands photographes français ayant appris le métier de l’image avec Chris Marker et a travaillé durant 30 ans avec Louis Vuitton pour ces campagnes publicitaires.

 

Salon de la Nationale des Beaux-arts Salon de la Nationale des Beaux-arts
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Publié le 22 Novembre 2023

Pour cette quatrième année, le salon s'est tenu fin août sous le soleil monégasque et sous le chapiteau accueillant le cirque. Facec a choisi de présenter des artistes américains et canadiens : 
- Suzanne Anan, peintre
- Marc Fugere, sculpteur 
- Patricia Gagic, photographe
- Daniel Hurwitz, photographe
- Pamela McDermott, peintre
- Lynette Shaw, peintre
- Pamela Takiff, photographe
- Audrey Traini, peintre

 

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Publié le 7 Avril 2023

Dans le cadre de nos expositions, notre première manifestation de l’année sera le salon Art Capital au Grand Palais Ephémère, face à la Tour Eiffel. Il s'est tenu du 15 au 19 février.

Nous avons proposé une sélections d’œuvres réalisées par des artistes peintres féminines nord-américaines. Pour la première fois, les photographes américaines, Dawn Watson et Pamela Takiff (Focus N°13) ont présenté les œuvres retenues par la Nationale des Beaux-arts en septembre dernier. Black Star et Land Ends, issues de la série Message for GRACE (Gravity Recovery and Climate Experiment), sont inspirées par les derniers travaux de la NASA : il s’agit d’un système de satellites relayant des données permettant de transformer notre compréhension du système terrestre. Grâce à ces images, Dawn nous offre une réalité inversée présente mais pas encore vue : le ciel devient le sol, le sable un glacier, le reflet une galaxie, les espèces végétales envahissantes des délices de dentelle. Pour Pamela, je vous invite à lire le focus qui lui est consacré (vous pouvez passer par la section contact pour recevoir plus d'informations).

A leurs côtés, la peintre également américaine, Suzanne Anan, ancienne membre de la délégation américaine (SNBA 2013), récipiendaire d’une médaille d’argent (ASL 2014) nous invite à entrer dans un univers où se mêlent différentes cultures. Ainsi Legend est inspirée d’une histoire japonaise concernant la vanité et la volonté pour la jeune femme drapée de rouge, à ne jamais perdre sa beauté. La dernière artiste américaine a été la gagnante d’un prix de soutien donné par l’ADAGP, Lynette Shaw, qui nous a offert une œuvre totalement inédite. Deux canadiennes ont complété ce quatuor, Sarah Garside et Lynn Dooly-Marek dont l’œuvre intitulée Lady with a headdress est un subtil mélange de techniques : collage, peinture.

Mais il nous fallait deux hommes pour compléter ce groupe exclusivement féminin, et c’est Scott Kling, le frère de Pamela, qui nous a rejoint avec Venus, un petit bronze, inspiré par son épouse danseuse, une pièce toute en ligne, en courbe, ou l’essentiel est évoqué et Norman Galinsky, avec Cosmic Cluster, une œuvre inspirée de sa formation en science et son profond intérêt pour la méditation et la guérison énergétique. 

Retour sur le salon des Indépendants - Grand Palais Ephémère 2023Retour sur le salon des Indépendants - Grand Palais Ephémère 2023
Retour sur le salon des Indépendants - Grand Palais Ephémère 2023Retour sur le salon des Indépendants - Grand Palais Ephémère 2023

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Rédigé par Bénédicte Lecat

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Publié le 4 Avril 2023

Afin de parfaire son éducation artistique, Pamela suit des cours de dessin et de design à l’Université Ryerson, ainsi que l’enseignement de nombreux professeurs dans divers ateliers plus techniques. Il faut signaler que la créativité a toujours existé dans sa famille : son cousin est architecte, sa belle-sœur est auteure de vitraux sur mesure et surtout, son grand-père est le créateur de la première perceuse à trépanation du cerveau avec Sir Wilder Penfield. Ses missions ne lui prenant pas la totalité de son temps, Pamela peut laisser son cerveau, ce muscle créatif agité tel qu’elle le décrit, prendre le pouvoir et la plonger dans l’abstraction et l’expérimentation.

Pour Pamela, l’abstraction est un champs d’expression difficile mais plus réfléchi. Les formes s’imbriquent, les couleurs se superposent et expriment ses pensées les plus intimes, mais aussi ses visions, ses réflexions. En effet, malgré sa formation classique en figuration et dessin architectural, Pamela trouve l’abstraction plus gratifiante car elle lui impose un défi, un puzzle à résoudre. La toile est alors la finalisation de son introspection (CF Etude en rouge ou Swing).

In order to further her artistic education, Pamela took drawing and design courses at Ryerson University, as well as teaching numerous teachers in various more technical workshops. It should be noted that creativity has always existed in her family: her cousin is an architect, her sister-in-law is an author of custom-made stained glass and most importantly, her grandfather is the creator of the first brain trepanning drill with Sir Wilder Penfield. Since her missions don't take up all her time, Pamela can let her brain, that restless creative muscle as she describes it, take over and plunge her into abstraction and experimentation.

For Pamela, abstraction is a difficult but more reflective field of expression. Shapes are intertwined, colors are superimposed and express her most intimate thoughts, but also her visions, her reflections. Indeed, despite her classical training in figurative and architectural drawing, Pamela finds abstraction more rewarding because it imposes a challenge, a puzzle to solve. The canvas is then the finalization of her introspection (CF Study in Reds or Swing).

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Rédigé par Bénédicte LECAT

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