Publié le 22 Août 2024

Daniel Hurwitz - Capturer l'instant (extrait)

C’est à 14 ans que Daniel découvre réellement la photographie : sa sœur reçoit un appareil photo pour son anniversaire et Daniel souhaite recevoir le même cadeau, soit un Olympus OM – 1 SR. “Le monde de la photographie s’est ouvert à moi, ma passion est née“. Mais avant de se lancer dans le monde de l’image, Daniel étudie le droit pénal, la gestion publique et le comportement humain à l’Université de Californie. Il travaille dans le monde du marketing et de la vente, ainsi que de la promotion immobilière. En parallèle, la photographie reste son violon d’Ingres et il poursuit les prises de vue au collège, au lycée puis à l’université.

C’est en 2003 que Daniel présente pour la première fois, son travail au public…. de Nouvelle-Zélande. Il y passe plusieurs années et y débute une collaboration avec la compagnie Yikes Production. Le but est alors de filmer les nombreuses activités proposées à tous les publics touristes et locaux : nager avec les dauphins, skier, faire du rafting, etc. Ce qui le conduit également à voyager et à filmer les expéditions de ski en Afrique, au Kazakhstan, et à découvrir les gorilles en Ouganda puis les orangs-outans de Sumatra. Chaque voyage est une occasion de photographier les paysages, les monuments, les animaux, de s’imprégner de ce que l’autre peut lui offrir.

Daniel Hurwitz - Knowing how to look (extract)

 

It was at the age of 14 that Daniel really discovered photography: his sister received a camera for her birthday, and Daniel wanted the same gift - an Olympus OM - 1 SR. "The world of photography opened up to me, and my passion was born. He took this photo at 15 in the Sinai Desert. But before entering the world of images, Daniel studied criminal law, public management and human behavior at the University of California, Irvine. He worked in the world of sales and marketing, as well as real estate development. At the same time, photography remained his violin d'Ingres, and he continued to shoot at college, high school and university.

In 2003, Daniel presented his work for the first time to the public.... in New Zealand. He spent several years there and founded the company Yikes Productions. The aim was to film the many activities on offer to tourists and locals alike: swimming with dolphins, skiing, rafting and so on. This also led him to travel and film ski expeditions in Africa and Kazakhstan, and to discover gorillas in Uganda and orangutans in Sumatra. Each trip is an opportunity to photograph landscapes, monuments and animals, to soak up what others have to offer.

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Rédigé par Bénédicte Lecat

Publié dans #I AM Magazine

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Publié le 22 Août 2024

Maggie Nimkin - A travers l'objectif, l'Art 

Maggie Nimkin est née en 1955 à New York, ville dans laquelle elle vit et travaille toujours aujourd’hui. Dans sa famille, son père lui transmettra sa fibre artistique : il est avocat mais il a mené de front une seconde carrière d’imprimeur, en se spécialisant durant près de 40 ans, dans les éditions d’art. La qualité de l’œuvre imprimée – que celle-ci soit une aquarelle, un dessin, une peinture – est toujours liée à la photographie et se doit d’être la plus proche de la réalité possible, la plus nette, la plus qualitative.

Maggie ne se destine pas de suite à la photographie, bien qu’elle se passionne pour cet art dès son plus jeune âge. Elle étudie à l’Université de Pennsylvanie (Philadelphie) les lettres classiques : la culture, les arts des périodes latine et grecque. Brillamment diplômée, sa culture antique lui permet de photographier les plus belles œuvres des collectionneurs, des vendeurs et de collaborer avec les plus importantes publications artistiques. Entre 1976 et 1984, grâce à sa connaissance de l'Antiquité, elle a été engagée chez Sotheby's, la maison internationale de vente aux enchères d'œuvres d'art, où elle a photographié de magnifiques œuvres d'art provenant de diverses cultures pour les publications de Sotheby's. Les compétences qu'elle a acquises chez Sotheby's ainsi que son expertise en matière d'éclairage des objets en trois dimensions lui ont permis de saisir les nuances de ces objets exceptionnels. La photographie s'est avérée être le langage parfait pour exprimer son vif intérêt et son appréciation pour ces œuvres d'art rares et de grande valeur.

Maggie Nimkin - Art through the lens

 

Maggie Nimkin was born in 1955 in New York City, where she still lives and works today. In her family, her father passed on his artistic talents: he was a lawyer, but he also pursued a second career as a printer, specializing for almost 40 years in art editions. The quality of a printed work - be it a watercolor, a drawing or a painting - is always linked to photography, and must be as close to reality as possible, as clear-cut and as qualitative as possible.

Maggie wasn’t immediately destined for photography, although she had a passion for the art from an early age. At the University of Pennsylvania (Philadelphia), she studied Classics: the culture and arts of the Latin and Greek periods. A brilliant graduate, with her knowledge of Antiquity, she was hired at Sotheby’s, the international art auction house where she photographed magnificent works of art from a variety of cultures for Sotheby’s publications. Between 1976 and 1984, The skills that she honed at Sotheby’s along with her expertise in lighting three dimensional objects enabled her to capture the nuance of these exceptional objects. Photography turned out to be the perfect language for her to express her keen interest and appreciation for these rare and highly valued works of art.

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Rédigé par Bénédicte Lecat

Publié dans #I AM Magazine

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Publié le 22 Août 2024

Ovila Huard - Retracer le lien

 

Elève brillant depuis l’enfance, Ovila réussit ses études secondaires mais ne se lance pas de suite dans l’aventure picturale. Il développe de nouveaux talents. Parmi ceux-ci, celui de la mode : il dessine et confectionne avec talent des collections de vêtements médiévaux vendus dans des chaînes de magasins spécialisés. Il met cette excellence et cette réussite au service des théâtres en réalisant leurs costumes, des jeunes étudiantes pour leurs bals de fin d’année, des futures mariées afin de réaliser la robe de leurs vies. Ce n’est pas s’en rappeler le parcours de Doris Bouffard, qui fut un temps, styliste avant de se lancer dans la sculpture. Parce qu’il aime également la musique, Ovila prépare et chorégraphie les défilés de fin d’année des diplômés de l’école de mode ; et plus tard sera aussi celui des ensembles chorégraphiques du Québec et des corps de tambours et de clairons durant près de trente ans. Cette polyvalence en touchant à tous les secteurs lui permet de pleinement se réaliser et de prendre confiance en lui.

Mais Ovila ne s’arrête pas là : il étudie l’infographie et termine ces études Major de promotion. A tel point doué et créatif, on lui propose d’enseigner cette matière, ce qu’il refuse préférant travailler d’abord afin de se sentir apte à enseigner. Est-ce que les vingt-cinq dernières années suffisent ? Apparemment toujours pas. Parce que grâce aux encouragements de l’homme qui partage sa vie, Ovila se lance dans la peinture. Enfin !!

Ovila Huard - Find the link

 

A brilliant student since childhood, Ovila succeeded in his secondary studies but did not immediately embark on a pictorial adventure. Instead, he developed new talents. One of these was fashion: he skillfully designed and produced collections of medieval garments sold in specialized chain stores. He puts this excellence and success to good use, designing costumes for theaters, students for their end-of-year balls, and brides-to-be to create the dress of a lifetime. It's not unlike Doris Bouffard, who was once a stylist before turning to sculpture. Because he also loves music, Ovila prepares and choreographs the end-of-year fashion shows for graduates of the fashion school, and later also for the Quebec choreographic ensembles and drum and bugle corps for almost thirty years. His versatility in all these areas has enabled him to develop his full potential and self-confidence.

But Ovila didn't stop there: he studied computer graphics, graduating top of his class. So gifted and creative was he that he was asked to teach the subject, which he refused, preferring to work first to feel fit to teach. Is the last twenty-five years enough? Apparently not. Thanks to the encouragement of the man who shares his life, Ovila takes up painting. Finally!

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Rédigé par Bénédicte Lecat

Publié dans #I AM Magazine

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