La programmation de Canneseries est arrivée :
- rencontres et signatures à l'Espaces Miramar
- découverte de nouvelles séries à l'auditorium Lumière du Palais des Festivals
- master class avec la récipiendaire de l'Icon Award, Sarah Michelle Gellar, actuellement dans Wolf Pack ( série de neuf épisodes disponible sur Paramount+)
A nous les séries !!
C’est d’ailleurs avec une toile de son sujet fétiche, que Doris est sélectionnée pour la première fois au sein de la délégation canadienne. C’était en 2012. Je l’avais rencontrée quelques mois auparavant alors que je participais au Toronto Art Show. Audrey Traini, son amie de longue date, me l’avait présentée, j’avais bafouillé plus d’une fois dans un anglais approximatif, elle avait su faire preuve de patience et deviner ma pensée.
Mais le talent de Doris ne se limite pas aux paysages de bouleaux argentés en hiver : aquarelles de magnolias, peintures de poinsettias, végétation panaméenne. Tout ce qui passe sous ses yeux est enregistré dans sa mémoire puis retranscrit sur une toile. Doris explique que si elle est devenue artiste, ce n’est pas seulement pour toucher du doigt ce que ressentait ma mère, mais surtout parce que je veux également raconter mon histoire, partager avec le public, la beauté que je vois en chaque chose. Je peins le monde tel que je le ressens plutôt que tel qu’il est.
What is most appealing about her paintings are the watercolors: they are imbued with delicacy and reveal Doris' technical mastery. This is what allowed her to join the prestigious Michael Gallery, where she was the most sought-after artist for many years. The public is fond of these birch trees, which she declines to infinity, but also these "poppies" that she offers in floating bouquet, or full "screen". She shows the fragility of the poppy, this spring flower with such a short life span. She has also tried her hand at abstraction, without real conviction, but she keeps coming back to landscapes, her passion.
Doris' paintings have been included in several private collections, including those of the President of the Canadian United Nations and members of the Sunnybrook Hospital Board of Directors. In the spring of 2018, she was privileged to have one of these paintings enter the private collection of the Vatican. She is also a member of the Board of Directors of the Canadian National Exhibition Association and has long taught painting techniques at the Donna Child Gallery, where she will soon be exhibiting these latest creations. I invite you to discover them and to dive into the sensitive universe of Doris
A l’image de Sarah Garside, un accident de voiture et deux ans d’incapacité la rappellent à l’ordre. Jaz prend sa retraite, quitte la Lorraine pour la Côte d’Azur. Elle s’installe à Mandelieu-La-Napoule, ville qu’elle connaît bien, à la fin de l’année 2000 et décide de reprendre les pinceaux. Les cours de peinture qu’elle avait suivis alors qu’elle avait dix-sept ans sont loin, mais comme pour le vélo, rien n’a totalement disparu. Elle perfectionne sa technique et suit de nombreux cours : aquarelle, huile, fusain, pastel, acrylique. Durant dix ans, l’ABAC de Cannes et l’ACCA de Le Cannet sont ses maisons d’apprentissage et deux professeurs en particulier, lui permettent de les maîtriser.
A Cannes, la néerlandaise Leone Bingen, vivant entre la France et l’Italie, lui transmet un enseignement oscillant entre technique contemporaine et gestuelle. A Le Cannet, Jean-Marc Sardou lui explique l’art du portrait, sujet qu’il domine au point de reproduire en quelques minutes, avec un réalisme fulgurant, un sujet d’après modèle. Ce n’est pas sans évoquer la rapidité d’exécution de Matisse, qui dessinait plus de cinquante portraits en heure. Et le journaliste de lui demander comment cela était possible : 60 ans de pratique ! fut la réponse de Cateau Cambrésien. Mais il est à souligner qu’aucun de ces deux professeurs n’a éteint la spontanéité, la gestuelle, la liberté d’expression de Josyane.
To achieve this, Jaz has studied the great masters, whether French or not: Cézanne, Monet and his Water Lilies, Joan Mitchell and his abstract expressionism, Marc Chagall, Nicolas de Staël and their taste for color, are her favorites. She also has a particular interest in the great paintings of the Chinese artists Zao Wou-Ki and Chuh Teh-Chun, two masters of lyrical abstraction.
Like many artists, transmission is important, and one of her children practices paintings. But Jaz would like the arts to be taught from an early age so that emotions, whatever they may be, can be transcribed onto the canvas, into the clay. Painting should be a moment of joy, but it is also a way to express one's sadness, anger, fears, and tears. She remembers a phrase of the French painter Jean-Auguste Ingres: masterpieces are not made to dazzle, they are made to persuade, to convince, to enter us through the pores. Josyane's painting, regularly exhibited with the com2Art association at the Espace Bonnard in Le Cannet, catches you, overwhelms you, to the point of illuminating the interior of a few well-informed amateurs on the Côte d'Azur, as well as in Savoie. This is what the high commission of awards of the Société Académique Arts-Sciences-Lettres wanted to underline, which awarded him a silver medal in 2021.
Pourtant Martine ne se destine pas de suite à la peinture. Elle poursuit ses études universitaires en droit et devient juriste. Ses amis évoquent les dessins et les croquis dont elle décorait ses notes de cours. A la suite de l’obtention de son diplôme, Martine s’inscrit au barreau de Gand et travaille durant trois ans dans un cabinet d’avocats. Afin de se spécialiser et de revenir à l’une de ses passions, l’environnement, Martine suit des études en sciences de la santé environnementale durant un an. Elle travaille durant sept ans en tant qu’éco juriste.
L’art finit par la rattraper et, encouragée par son mari qui a foi en son talent, elle prend la décision de se consacrer pleinement à la peinture. De 2003 à 2007, elle peaufine l’art du dessin à l’Académie de Sint-Niklaas. Elle y suit les cours de Roland Massa et de Guy Van Assche. Ce dernier après avoir étudié le dessin à l’Académie des Beaux-arts de Sint-Niklaas et la peinture de l’Académie des Beaux-arts d’Anvers poursuivra ses études en graphisme libre à l’Institut Sint-Lucas de Gand. Il enseigne le dessin depuis 1985 à l’Académie de Sint-Niklaas ; et depuis 2009, l’aquarelle.
Martine is known for her oil paintings on canvas and panel. The recurring themes testify to a contemporary realism and her mastery as a figurative painter: her landscapes, mainly sea views; her still lifes with flowers in the four seasons and fruit still lifes, with cherries in the main role. She controls the subtle play of color, transparency, and material effects. If we take the cherry cups, we discover the light reflected on both the metal and the fruit. Even the traces of water when the fruit has just been washed are present and somewhat distort the roundness of the fruit. His lemons, tangerines, granny-smith, grapes are so appetizing that they make you want to bite into them.
Martine transposes this technique to portraits or animals. She recently exhibited two large format works at the Salon des Indépendants, in the Grand Palais Ephémère: she presented two horses, painted on plain backgrounds, so that our attention is focused on the subject. The first is a chestnut horse, painted in profile, and we almost had the impression that with each passing visitor he would turn his head and look us in the eye. Just like his pale horse launched at full speed: many visitors, especially children, were fascinated by this horse, they even thought he was galloping towards them and was going to leave the painting.
I AM Magazine est notre principal outil de communication et nous permet de présenter nos actions, les artistes avec lesquels nous travaillons, les expositions, les livres que nous avons aimés, le tout dans les deux langues. Il est aussi votre outil pour diffuser vos informations (expositions, récompenses, ou toute action que vous souhaitez mettre en avant).
Chaque numéro propose un Regard Sur un artiste qui vous permet de découvrir la femme ou l'homme qui se cache derrière le peintre, le sculpteur ou le photographe. A ce jour, Jaz, Gorfi et Christine Théry pour la France; Audrey Traini, Sarah Garside, Doris Pontieri, Doris Bouffard, Pamela Mc Dermott et André Derouin pour le Canada, Martine Van de Walle pour la Belgique, Zdravko Luketic pour la Slovénie, Pamela Takiff, Scott Kling et prochainement Dawn Watson pour les Etats Unis ont accepté de se dévoiler et d'expliquer ce qui les avaient poussés à devenir des artistes.
Ce magazine est disponible sur abonnement en version papier, ou version en ligne. N'hésitez pas à revenir vers nous pour y adhérer (facec.international@orange.fr).
Souhaitant se détacher du style de son mentor, Sarah travaille sur un seul sujet : l’orchidée. Il faut dire que durant sa convalescence, une quinzaine d’orchidées offerte par ces amis ont égayé sa chambre. L’orchidée appartient à une famille de plus de 25000 espèces reparties en 850 genres, et symbolise la ferveur. Mais elle est surtout pour l’artiste, le symbole de son renouveau. Elle explique d’ailleurs vouloir peindre douze œuvres présentant des orchidées afin de créer un calendrier symbolisant la renaissance du Phoenix. Elle s’est consumée dans une vie et souhaite avec sa peinture, renaître dans une nouvelle.
Comme son professeur, Sarah a choisi la peinture hyperréaliste. Elle nécessite donc un long temps de travail, entre 120 et 150 heures de travail. Pour exemple, Orchidesque, œuvre sélectionnée en 2015 pour la première participation au salon de la Nationale des Beaux-arts, a été réalisée en six mois (entre mai et octobre de la même année). Elle a également choisi la peinture à l’huile qui va bien à son caractère rigoureux et précis. Elle explique aussi qu’une erreur peut être annulée grâce à plusieurs couches de couleurs. Enfin, elle peint sur bois et applique après ponçage plusieurs couches de gesso afin de mettre en valeur l’orchidée.
Wishing to break away from her mentor's style, Sarah works on a single subject: the orchid. During her convalescence, some fifteen orchids offered by her friends brightened her room. The orchid belongs to a family of more than 25,000 species divided into 850 genera and symbolizes fervor. But it is especially for the artist, the symbol of its renewal. She explains that she wanted to paint twelve works featuring orchids to create a calendar symbolizing the rebirth of the Phoenix. She has been consumed in one life and wishes with her painting to be reborn in a new one.
Like her teacher, Sarah has chosen hyper-realistic painting. It requires a long time of work, between 120 and 150 hours of work. For example, Orchidesque, a work selected in 2015 for the first participation in the National Fine Arts Exhibition, was completed in six months (between May and October of the same year). She also chose oil paint, which fits well with her rigorous and precise character. She also explains that a mistake can be cancelled out with several layers of color. Finally, she paints on wood which has been prepared with several coats of gesso, and sanding to a smooth finish in order to highlight the orchid.
Même si Scott s’est détaché de ces maîtres, son sculpteur préféré et auquel il fait régulièrement référence, est le roumain Constantin Brancusi (I AM Magazine lui a consacré un article de fond dans son édition n°2). Mais Scott avoue aussi un intérêt stylistique pour les créations datant de plus loin dans le temps : les idoles cycladiques. Elles sont apparues vers 4500 ans avant JC. On distingue trois phases dont les représentatives sont
le cycladique ancien I où les figurines sont schématisées et en forme dit de violon
le cycladique ancien II où les figurines ont la tête un peu inclinée en arrière et les bras croisés pour une partie ou de type dit spedos où seule la tête est représentée (tête très épurée avec un nez de forme triangulaire).
Cette épuration des lignes et des courbes se retrouvent dans l’œuvre de Scott. Par exemple Cetacean et Cycladic head, exposées au salon des Indépendants au Grand Palais (Mars 2020) : on devine la queue d’une baleine très facilement sans que l’animal soit présenté dans son intégralité, ou bien un visage très stylisé dont le nez est présenté par une arête. La suggestion plutôt que la représentation figurative.
Scott apprécie également l’œuvre de Rodin, de Degas, d’Arp ou d’Archipenko dont certaines œuvres sont toutes aussi stylisées que les idoles cycladiques. C’est d’ailleurs la ligne qui inspire Scott, notamment les lignes de son épouse Cynthia, sa muse et sa partenaire comme il aime à la définir. Cynthia est danseuse moderne et est son plus précieux modèle depuis 1985. Il a su capter la grâce et la fluidité de ses mouvements, et ainsi réaliser une série intitulée Human Landscape. Il a retranscrit les mouvements, les courbes, l’essentiel d’un instant dans des œuvres telles que Reclining Venus (Penseur), The Pod ou bien encore dans Rayon de Lumière. Ici, simplicité, épuration suggestion sont les maîtres mots pour qualifier son œuvre, qui par certains côtés rappellent les visages improbables d’André Derouin.
Scott Kling's educational background includes the Cincinnati Art Academy, Walter Driesbach Studio, Sarah Laurence College, and the Arts Student League in New York, where he still studies today. To perfect his mastery, he joined two artist residencies, both in Pietrasanta, Italy: Studio La Polveriera and Penalta Hamlet Studio. At the same time, and thanks to Grace Knowlton, sculptor and photographer, he set up a studio in the grounds of her house in Snedens Landing. Following the death of this artist, his studio moved to Tappan (NY State).
Even though Scott Kling has detached himself from these masters, his favorite sculptor, and one to whom he regularly refers, is the Romanian Constantin Brancusi (I AM Magazine devoted a feature article to him in its issue #2). But he also admits to a stylistic interest in creations dating further back in time: the Cycladic idols. They appeared around 4500 years BC. Three phases can be distinguished, the most representative of which are :
- the ancient Cycladic I where the figurines are schematized and, in the shape, said of violin - the ancient Cycladic II where the figurines have the head a little inclined backwards and the arms crossed for a part or of type known as spedos where only the head is represented (very purified head with a nose of triangular form).
This purity of lines and curves can be found in the work of Scott Kling. For example, Cetacean and Cycladic head, exhibited at the Salon des Indépendants at the Grand Palais (March 2020): one can easily guess the tail of a whale without the animal being presented in its entirety, or a very stylized face whose nose is presented by a ridge. The suggestion rather than the figurative representation.
Philippe a pour thèmes favoris le paysage et les instantanés de la vie de tous les jours, que cela soit par l’émotion ressentie ou par la seule volonté d’aborder un sujet sociétal, philosophique ou politique. Si l’on prend l’exemple de l’Anniversaire, c’est toute la tristesse d’un enfant ignoré par ses parents le jour de la célébration de sa naissance, tant sont-ils préoccupés par leurs téléphones et métiers. Philippe évoque ainsi l’absence de communication malgré tous les outils existants depuis plus d’une quinzaine d’années.
Il trouve son inspiration chez Monet et Canaletto notamment pour leur génie créatif mais aussi pour leur approche de la couleur et du rendu de la lumière dans leurs toiles. On est ici face à deux tempéraments et deux artistes opposés dans leurs expressions. Les œuvres de Canaletto, peintre du XVIIIe siècle italien, sont marquées du sceau de la rigueur géométrique de la perspective avec un jeu d’ombres et de lumières marqué, auquel s’associe la vie trépidante sur les eaux du Grand Canal à Venise. Il choisissait très précisément la lumière, le moment de la journée, et l’atmosphère qu’il souhaitait distiller dans sa peinture. De l’autre le maître des nymphéas et de l’impressionnisme, Claude Monet, qui propose parfois une variation autour d’un même thème : la Cathédrale de Rouen, Etretat, les Meules. Tout n’est qu’étude de la lumière et de son impact sur les lieux, les objets. Ainsi les paysages tels que Toscana ou Rêve de Nature sont lumineux, très colorés et emplis de joie. Tout l’été est présent dans ces œuvres. Idem pour la Rivière bleue : le bleu intense de cette petite rivière vous invite au plongeon et vous propose de vous laisser porter au-delà du tableau. Les paysages sont clichés mémoriels, des instantanés figés dans l’esprit et ils sont le reflet des émotions de l’artiste.
Philippe is also inspired by the primitive arts: African art and Amerindian art, particularly in the form of these characters and their outfits. We find this inspiration in Fashion Week with women wearing very colorful dresses and outfits, with elaborate hats. There is also this idea of a checkerboard integrated into the fabrics of the African outfits, but the palette is now limited to those of the Italian Harlequin character with a dominant of red, green, black, yellow. Philippe explains that he limits his color palette to primary colors. Why this Italian inspiration? Undoubtedly because the Harlequin character is the symbol of fickleness and human failings. He is also the instrument of man's reflection, and he pushes him to think about the society in which he evolves. Paintings such as Slow Death, from the Venice series, or Social Life reflect a society disconnected from reality on the one hand (the characters have their heads in their phones, a bit like in L’anniversaire) and environmental damage on the other hand (Venice and the pollution of cruise ships, the acidity of the water which attacks the foundations of ancient palaces).
For his sculptures, Philippe gives free rein to his personal experiences which result in semi-figurative creations. He opts for recycling and thus gives a second life to wood, metal, and cement. He explains that these materials, by their form and their nature, give him the possibility of creating characters, which despite the defects of their supports, can take life. And as for these paintings, he uses primary colors as a reflection of these emotions. The drawing is geometric, no doubt, as he points out, the legacy of his Cartesian scientific training. But the need to express his vision, his feelings about the world around him, about the threats that weigh on him, allow him to create luminous, spiritual, sincere works. No doubt a way to soothe his fears.
La Société académique Arts Sciences Lettres a pour vocation de reconnaître et de promouvoir les femmes et les hommes qui, par leur travail, participent au rayonnement de la culture dans les domaines artistiques, littéraires et scientifiques.
Pour cela, l'association dispose d'un réseau important de délégués, tant en France qu'à l'étranger, et diff use auprès de ses sociétaires une revue semestrielle : Rayonnement. Elle est ainsi présente dans 22 pays, répartis sur les cinq continents. Parmi les récipiendaires figurent la reine Élisabeth de Belgique, la reine Sirikit Kitiyakara de Thaïlande, des prix Nobel : Albert Schweitzer, Jean-Marie Lehn, Pierre Curie et Marie Curie ; des musiciens : Yehudi Menuhin, Francis Lemarque, Francis Lopez ; des académiciens : Jules Romains, André Maurois, Cole! e, Marcel Pagnol, Henri Troyat ; des explorateurs comme Jacques Yves Cousteau ; des peintres comme Philippe Lejeune ; des sculpteurs comme Maurice Prost; des scientifiques : Louis de Broglie, Louis Leprince-Ringuet, Louis Lumière, Jean Clottes, Jean-Louis Etienne ; des hommes et des femmes de lettres : Jean-Louis Vallas, Simone Veil.
Chaque année, au cours d'une cérémonie organisée dans établissement parisien de prestige, Arts Sciences Lettres décerne des médailles sur décision de sa commission supérieure des récompenses, à la suite des dossiers de candidatures établis et présentés conformément au règlement. La liste des récipiendaires est arrêtée une fois par an selon les modalités fixées sur le formulaire des récompenses.
En tant que déléguée, je sélectionne et présente les dossiers à la haute commission des récompenses pour le Canada, la Slovénie et les Alpes-Maritimes. La prochaine cérémonie se tiendra le 4 novembre à l'Intercontinental Opéra - Paris. Si vous présenter votre candidature, je vous invite à m'adresser un courriel à facec.international@orange.fr.
Dans le cadre de nos expositions, notre première manifestation de l’année sera le salon Art Capital au Grand Palais Ephémère, face à la Tour Eiffel. Il s'est tenu du 15 au 19 février.
A leurs côtés, la peintre également américaine, Suzanne Anan, ancienne membre de la délégation américaine (SNBA 2013), récipiendaire d’une médaille d’argent (ASL 2014) nous invite à entrer dans un univers où se mêlent différentes cultures. Ainsi Legend est inspirée d’une histoire japonaise concernant la vanité et la volonté pour la jeune femme drapée de rouge, à ne jamais perdre sa beauté. La dernière artiste américaine a été la gagnante d’un prix de soutien donné par l’ADAGP, Lynette Shaw, qui nous a offert une œuvre totalement inédite. Deux canadiennes ont complété ce quatuor, Sarah Garside et Lynn Dooly-Marek dont l’œuvre intitulée Lady with a headdress est un subtil mélange de techniques : collage, peinture.
Mais il nous fallait deux hommes pour compléter ce groupe exclusivement féminin, et c’est Scott Kling, le frère de Pamela, qui nous a rejoint avec Venus, un petit bronze, inspiré par son épouse danseuse, une pièce toute en ligne, en courbe, ou l’essentiel est évoqué et Norman Galinsky, avec Cosmic Cluster, une œuvre inspirée de sa formation en science et son profond intérêt pour la méditation et la guérison énergétique.